Le théâtre s’élevait au cœur de le petit village, exigeant nonobstant ses locaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait autrefois agréé les plus grands musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses itinéraires désertes. Arthur poussa mollement https://johnathanspytc.idblogz.com/34299489/la-partition-du-destin-figé