Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir nettement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://keeganvejnx.loginblogin.com/41450911/les-dunes-de-sel-hadra