Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir extraordinairement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fantôme, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://kylerwvbzv.bligblogging.com/34718719/les-odeur-dessinés